Connaissez ​Mieux

vos Problèmes

afin de bien

les ​Résoudre…

​Article sponsorisé par : www.intuition-et-connaissance.com

Vous connaissez cette histoire, récurrente pour des millions d’êtres humains sur toute la planète ? C’est certainement, à n’en pas douter votre cas aussi. Mais si, réfléchissez bien. Vous ne voyez pas ce que je veux dire ?

Alors, certains peuvent considérer leurs problèmes dans la vie comme étant ce qu’il y a de plus important. Mais à y regarder de plus près, beaucoup de ces petits problèmes peuvent s’accumuler et former des problèmes d’importance réelle.

Mais indépendamment de leur urgence, les principes à respecter restent les mêmes.

Vous êtes en devoir d’essayer d’analyser clairement le cœur du problème.

Souvent, de petites contrariétés mises les unes à la suite des autres, vous empêche d’en percevoir le plus important. Vous ne parvenez même plus à distinguer celles qui sont vraiment importantes, de celles qui ne le sont pas.

Dès lors, pourquoi ne pas vous occuper en priorité de celle qui hante votre esprit en ce moment ? Comme votre esprit est incapable de traiter plus d’un problème à la fois, aussi occupez-vous de l’actuel, puis faites place au suivant. Hélas, il y aura toujours un problème qui suivra, mais de cette manière, vous ferez des progrès au lieu de tout vouloir gérer en bloc.

Ceci est applicable à toute chose bien entendu. Occupez-vous d’une seule  chose à la fois, au lieu de vous tourmenter au sujet de tout. Si vous avez devant vous une montagne de choses à solutionner, celle-ci vous paraîtra encore plus démesurée si vous vous représentez toutes ses parties simultanément.

À la manière d’une mindmap (carte heuristique), je vous suggère que vous vous le représentiez dans son ensemble d’abord, de telle sorte que vous soyez averti de ce que vous traitez et du but vers lequel vous vous dirigez.

Après cette première vue d’ensemble, abordez simplement le problème le plus à froid possible, comme si vous n’étiez pas concerné par celui-ci. Abordez-le étape par étape.

L’important est de l’aborder. Ne le laissez pas en suspens en vous demandant comment effectivement le résoudre.

La non réponse, l’incertitude peut vraiment vous rendre malade. Car, l’indécision, le doute et l’incertitude réunis forment un cocktail explosif et ce sont quelques unes des habitudes que vous devez supprimer et/ou remplacer. Pour peu que cela représente un début d’action, commencez par ce qui se présente en premier lieu et vous progresserez.

Tout le reste n’est qu’inaction.

Goethe l’a résumé ainsi : “Accomplissez la tâche la plus proche de vous, l’accomplissement de la suivante en sera facilité”.

Et pour les problèmes
réellement “très” importants

Je sais que beaucoup d’entre vous vont penser : “et en ce qui concerne les problèmes comme le manque d’argent, la maladie, les handicaps physiques, on ne peux pas faire table rase de tout cela aussi facilement”.

Mais vous pouvez vous y efforcer.

En général, on conseille aux personnes confrontées à ces problèmes d’adopter un état d’esprit positif et qui fait dire, entre autre : “cela passera”.

Ou bien, pourquoi se lamenter de ne point avoir de chaussures de marque alors qu’on vient de croiser un cul de jatte ? Ces raisonnements peuvent vous aider à certains moments si vous pouvez y joindre la foi, mais deviennent inutiles pour la résolution de problèmes réels.

L’infortune d’autrui peut être un soulagement temporaire en vous disant en votre for intérieur : “bien, au moins, je ne suis pas le seul !” Mais, malheureusement, nous sommes ainsi faits que la moindre anicroche sur notre personne revêt une bien plus grande importance qu’un conflit meurtrier à l’autre bout du monde.

Il est ainsi qu’ailleurs, quelqu’un souffre davantage que vous, mais ce fait ne modifie en rien votre situation. Vous compatissez et c’est à peu près tout.

Par exemple, penser que quelqu’un est plus pauvre que soi peut vous donner le sentiment d’être plus riche que lui, mais ne vous leurrez pas.

Ceci ne vous est d’aucune aide, si ce n’est aggrave encore les choses et peut même vous empêcher de trouver la solution !

Indépendamment de l’état de votre situation bancaire et de celle d’autrui  - ou des problèmes que vous avez et qui n’existent pas chez l’autre -  je crois que si tous les ennuis du monde étaient rassemblés puis vendus aux enchères au plus offrant, la plupart d’entre-nous rachèteraient les siens plutôt que ceux des autres.

Alors, qu’elle est la solution qui peut s’en dégager ? Et bien, pour résoudre ses problèmes et/ou ses ennuis…

La première chose à faire est sans doute d’essayer de se tirer d’affaire soi-même. Toujours compter sur les autres n’est pas la meilleure attitude et ne permet pas de devenir plus autonome soi-même.

Rares en effet sont ceux qui ont à disposition un conseiller spécial. Vous manquez d’argent ? Vous n’êtes pas le seul dans ce cas précis. C’est vous seul qui devez faire face à vos obligations.

Puisque vous devez vous occupez de vous-même, qu’attendez-vous ?

Nous vivons dans un siècle où l’on dépense chaque mois jusqu’au dernier euro gagné et nombreux sont ceux qui vivent au-dessus de leurs moyens. Beaucoup d’entre nous croient trop souvent qu’imputer une dépense pour une chose sur un budget équivaut à obtenir gratuitement cette chose (c’est une croyance).

Et c’est une lutte constante pour vous maintenir à l’équilibre.

Il n’existe que 2 solutions pour remédier à ce problème. La Magie Blanche pourra vous être d’une aide profitable, mais ne remédiera pas à votre penchant pour la dépensite aiguë… Vous devrez de toutes les façons les appliquer dans l’action conjointe avec ce que je vous partage aujourd’hui.

La première, évidemment, est de gagner plus d’argent. À cela, vous serez tenté de me répondre : “cela ne m’avance guère; en voudrais-je encore plus que je ne saurais pas comment faire ?”.

Ma réponse risquera de vous surprendre. Nombreux sont ceux qui gagneront énormément selon leurs capacités, mais… les autres sont tout aussi nombreux.

Les raisons en sont, la paresse, la crainte de devoir changer de style de vie, de changer de lieu de vie et bien sûr, un manque avéré de confiance en soi.

Le cas le plus triste correspond à ce type de personne qui est restée à la même place pendant des années et qui craint plus que tout de changer.

Cette personne croit fermement (encore une croyance) qu’elle n’a tout simplement pas eu de chance.

Et pourtant, la chance est un état d’esprit. Matérialisée par l’action !

Et soit dit entre nous, il n’est pas dangereux de tenter de gagner de l’argent pendant ses heures de loisirs. Vous seriez surpris du nombre de façons qu’il y a à le faire, si le temps que vous consacrez à vous plaindre était utilisé à envisager la chose.

C’est la première solution. La deuxième, probablement la plus logique, serait de gérer plus efficacement ce que vous gagnez ou ne gagnez pas encore.

Une fois de plus, je tiens à vous prévenir qu’il n’y a pas de “miracle” possible. Tout n’est qu’une question d’implication personnelle. Et ce que je partage avec vous sont des règles de bon sens. Il ne tient qu’à vous de prendre vos responsabilités, de cesser de jouer à la victime assistée et de vous atteler à la tâche.

Donc, tentez d’élaborer un plan d’épargne - n’achetez que ce que vous pouvez payer tout de suite - peu importe les moyens de paiement dont vous disposez. Comprenez que ces choses doivent être payées en fin de compte.

N’achetez que ce qui vous est nécessaire et ce que votre fortune peut vous offrir, du moins, jusqu’à ce que vous vous sentiez moins acculé.

Les problèmes que vous possédez
et ceux qui vous possèdent…

Maintenant, il y a une question primordiale que vous devez garder à l’esprit. Contribuez-vous - de quelque manière que ce soit - à la résolution d’un problème ou devenez-vous une partie ou la cause de ce problème ?

Si vous êtes de nature dépensière, vous n’avez donc aucune bonne raison de vous plaindre de votre état, qui résulte de ce manque d’argent.

C’est vous le problème ! Aussi, mettez-vous au travail. Encore une fois, prenez vos responsabilités…

Il y a aussi la santé. Phénomène indépendant de votre volonté. Quoi que…

Aussi, c’est quelque chose que vous pouvez contrôler vous-même. Si vous avez quelques inquiétudes et plutôt que redouter quoi que ce soit, habituez-vous à faire un check-up avec votre médecin, au moins pour vous rassurer.
​Prenez rendez-vous et déterminez avec lui s’il y a matière à vous inquiéter, plutôt que passer des nuits blanches à vous ronger les ongles en pensant au pire.

Gérez vos inquiétudes en les regardant en face, car l’incertitude est bien la pire des souffrances.

Et soit dit en passant, Le stress fait généralement prendre du poids !

Je suis certain que vous connaissez des personnes souffrantes, mais qui, par bêtise ou par ignorance, font tout leur possible pour repousser toute idée d’aide quelconque. Ça s’appelle un suicide lent… et programmé.

Hélas, cela ne les empêchent pas de s’en plaindre à longueur de joure.

Cessez de temporiser et de tout remettre aux calendes grecques. Si vous ressentez que vous avez du poids à perdre, mettez-vous à la diète avec un bon Fasting. Cessez de parler de la semaine prochaine ou de demain.

Commencez dès maintenant ou vous ne commencerez probablement jamais.

Souvenez-vous que, la plupart du temps pour presque chaque type de problème, ce n’est pas ce que vous faites pour solutionner le problème qui vous fatigue ou vous épuise.

C’est ce que vous ne faites pas qui vous accable !

À ce sujet, il y a une maxime que j’aime beaucoup. Elle est de Sénèque.


​“ Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est

parce que nous n’osons pas qu’elles sont  difficiles. Souvent, nous pensons qu’une chose

est difficile, voire impossible, et donc nous n’osons même pas essayer “.

Chaque complexe de frustration qui est affronté avec réalisme et justesse et est traité de façon organisée, s’ajoute à la grandeur de votre personnalité.

Chaque échec duquel s’est dégagée une leçon suscite une expérience et un avoir qui accroissent votre capacité et votre pouvoir d’affronter les suivants.

Ce sont vos capacités et non

vos incapacités qui importe

Si vous êtes accablé d’une incapacité physique quelconque, je ne vais pas essayer de vous consoler en vous disant qu’il existe bien quelque part dans le monde des personnes plus défavorisées que vous.

Toutefois, je pourrais vous suggérer de cesser de vous tourmenter, voire même de penser à votre infortune. À ceci près…

Sachez plutôt que ce qui compte vraiment : “c’est votre capacité et non votre incapacité” qui est important.

Votre état d’âme est bien plus important que votre incapacité physique. Vous ne pouvez rien faire pour cette dernière, mais vous pouvez et Vous Devez Agir en ce qui concerne la première.

Une chose très importante à garder en mémoire est ceci : vous apprendrez avec l’expérience que la plus grande part de votre bonheur ou de vos peines dépendra de votre caractère et non des faits.

Ou encore, ce n’est ni l’endroit, ni la condition, mais bien l’esprit seul qui peut rendre quelqu’un heureux ou malheureux. Aussi, il est de votre devoir d’agir en ce sens.

Et au risque de me répéter. Prenez vos responsabilités !

Il y a quelques années en arrière, je me suis occupé d’enfants trisomiques, vous savez, ceux qu’on appellent les enfants mongoliens.  Ces gens sont de parfaits exemples à l’appui de ce que je vais vous raconter maintenant.

À ma grande surprise de l’époque, mais je présume que cela n’a pas changé aujourd’hui, ces personnes étaient  heureuses et bien adaptées. Elles faisaient preuve d’activités et d’engagement au sein de leurs communautés et plusieurs étaient membres de clubs sportifs.

Et vous savez quoi ? Ces jeunes s’amusaient de leurs incapacités ! Il y en a même un qui m’a défié au badminton en plaisantant.

Tous ces garçons et ces filles dont la plupart souffraient d’un déficit cognitif grave étaient venus à ce centre pour apprendre à vivre en société, devenir plus autonomes et apprendre un métier pour s’assumer seuls.

Ils étaient, tous, des experts dans leur domaine. Et mon cousin Jean- Loup, trisomique de génie était devenu un ferronnier d’art de renom. Il était capable d’invention et de créativité en face de n’importe quelle demande.

Le plus merveilleux est qu’il avait acquis la capacité de vaincre ses incapacités.

La personne la plus célèbre parmi les handicapés aux États-Unis est probablement Helen Keller qui, certainement, fit sien ce propos d’Emmerson  

“Jamais nul homme n’a enduré de déficience qui ne lui ait été salutaire”.

Elle rajouta : “Je remercie Dieu de mes épreuves, car sans elles, je n’aurais pu réussir”.

Que vous partagiez ou non son avis, vous devez admettre son attitude. Il n’y a pas d’autre manière de réagir. Votre esprit peut vaincre tout à condition que vous le décidiez.

Ce qui vous échoit est de loin moins important que la manière dont vous réagissez. Ne songez plus à ce qui pourrait ou ce qui devait être, songez plutôt à ce qui est, maintenant.

Je souhaite que vous conveniez à présent que “quelque chose”  peut être fait à l’égard des problèmes importants, ne serait-ce que l’attitude à prendre.

Considérez les choses bien en face : “ce qui ne peut être guéri doit être enduré…”, mais il y a lieu d’alléger autant que possible la peine, tant pour autrui que pour soi-même.

Et pour mieux “alléger” les autres, commencez par vous-même.

Votre exemple n’en sera que plus visible. Lorsque que quelque chose de concret peut être fait, faites-le par tous les moyens. Sinon, accomplissez le maximum possible.

Vous pouvez éviter un très grand nombre d’ennuis en prenant la décision de ne jamais en discuter lorsque vous savez fort bien que rien n’en ressortira de concret.

Abandonnez ce genre de croisades lorsque vous réaliserez que votre point de vue n’est admis qu’une fois sur cent. Car cela n’en vaut pas la peine.

Non, agissez plutôt comme cette personne qui sachant l’employé des postes très occupé lui adressa : “c’est très fragile, aussi, auriez-vous l’obligeance de l’expédier comme vous le feriez pour vous-même ?”

Il est étonnant de constater combien nous savons nous adapter aisément aux situations dont nous choisissons d’en prendre notre parti.

Comme cette histoire vraie, vécue par un jardinier amateur…

Il écrivit à l’entreprise de vente à domicile ceci : “j’ai suivi toutes vos recommandations d’utilisation de votre produit pour me débarrasser des pissenlits qui gâchent mon gazon, mais sans succès”.

Par retour de courrier, le jardinier reçut le sage conseil que voici : “Cher Monsieur, si, ayant tout tenté et malgré nos recommandations d’utilisation pour notre produit, vous n’avez pas pu vous débarrasser des pissenlits, il ne vous reste plus qu’une seule chose à faire : “apprenez à les aimer !”


​Rafael Arieli


PS :

Vous pouvez encore faire partie

de mes contacts privés :


Mes contacts privés, ce sont les gens à qui je raconte tout et à qui je livre tout.

Quand vous aller en faire partie tout à l’heure, je vais vous envoyer un mail de FOU (plus d’infos ci-dessous) 5 fois par semaine.


Ce ne sont pas les mails banals et ordinaires que vous recevez à longueur de journée :

Ce sont des mails qui contiennent autant d’informations inédites que dans une formation payante… sans rien avoir de plus à payer.

Ce sont des mails que vous aller garder, que vous allez imprimer, et peut-être même afficher sur les murs de votre bureau.

Parce qu’ils contiennent des structures entières, des méthodes exactes à recopier. 
Et de vielles martingales de génie à tester chez vous.

Ce sont des mails qui vont vous montrer des choses qui ne se montrent pas. Vous allez entrer dans ma famille en ligne, et je vais tout vous lâcher, tout vous montrer, tout vous balancer. Surtout, ce dont personne d’autre ne veut parler.

Bref, vous et moi, main dans la main, on va ensemble,  faire refleurir Votre Vie.

Je suis là pour ça.

​Et que si vous méritez le meilleur, je m'engage à vous fournir le meilleur de mes connaissances chaque jour…


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